la lpo nous dit tout

enfin il y a pas de fumer sans feu mais les asso anti chasse sont contre tout

doudou59 a écrit:

skeud59 (xavier) a écrit:J'ai des potes qui y ont été il y a deux ans et mon fait un reportage photo accompagné de leur récit... c'est tout simplement hallucinant et plus que compréhensible et il est plutôt rare de prélevé ce genre doit chez nous...

Pour y avoir été l'année dernière c'est vrai que les cendrées que l'on voit du côté de Oostvaardersplassen et du côté d'Amsterdam ne sont pas du tout les mêmes

J'ai été l an passé en juin avec jerem (jdons) et il a pis des photo il n'en revenais pas du monbre d'oies mais il le dira 70 por 100 c'est des bernaches et des hybides de brun tipé cendre ou domestique et même un train ne les effrais pas...

Par contre les bonnes souches elles sont deplacés si possible vers l'est du pays

Gadwal a écrit:

doudou59 a écrit:

skeud59 (xavier) a écrit:J'ai des potes qui y ont été il y a deux ans et mon fait un reportage photo accompagné de leur récit... c'est tout simplement hallucinant et plus que compréhensible et il est plutôt rare de prélevé ce genre doit chez nous...

Pour y avoir été l'année dernière c'est vrai que les cendrées que l'on voit du côté de Oostvaardersplassen et du côté d'Amsterdam ne sont pas du tout les mêmes

J'ai été l an passé en juin avec jerem (jdons) et il a pis des photo il n'en revenais pas du monbre d'oies mais il le dira 70 por 100 c'est des bernaches et des hybides de brun tipé cendre ou domestique et même un train ne les effrais pas...

J'y avais été en avril. Et j'ai fait le même constat que toi.
Par contre à Oostvaardersplassen elles sont magnifiques

Doudou j'y vais 3 week end par moi dans ma famille et le mieux pour l'observatio c'est mai juin c'est incroiable on dirai des volé d etourneau

Gadwal a écrit:Doudou j'y vais 3 week end par moi dans ma famille et le mieux pour l'observatio c'est mai juin c'est  incroiable on dirai des volé d etourneau

Bon à savoir.
Tu conseilles quel coin?
J'étais revenu par la zeeland mais là bas il y avait plus rien alors qu'en hiver, c'est quand même assez impressionnant

L'ile de Texel y'a tout mais faut prende le bac marin de den helder pour allé

tu connait le secteur du flevoland a une époque j'y allait assez regulierement

Le GON a réagi auprès du ministère - voir en fin de page


Chaque année, les chasseurs de gibier d’eau ressortent la même rengaine pour espérer justifier la prolongation de la chasse en février. Rappelons que cette chasse est d’une part interdite par la réglementation, et d’autre part stupide au regard du simple bon sens, car est-il intelligent de tuer des oiseaux prêts à se reproduire ? C’est-à-dire tuer « la poule aux œufs d’or » comme le disaient Jean de la Fontaine et Esope.

Le subterfuge depuis 2009 est de mettre en avant le cas des Pays-Bas où les effectifs d’oies sont en augmentation et commettent des dégâts aux cultures. Or, deux populations d’oies fréquentent les Pays-Bas : les migratrices et les sédentaires :
La population migratrice est la même que celle visible en France : les oies grises (Oie rieuse, Oie cendrée, Oie à bec court, Oie des moissons) et les oies noires (Bernache nonnette, et la Bernache cravant). Les effectifs de migrateurs ne posent pas de problème aux agriculteurs qui reçoivent des indemnités pour les migrateurs qui hivernent aux Pays-Bas !

Les oies sédentaires sont composées d’oies exotiques (Bernaches du Canada et Ouette d’Égypte) et des Oies cendrées et Bernaches nonnettes sédentarisées et des oies grises férales (domestiques retournées dans la nature). Elles voient leur population augmenter ces dernières années aux Pays-Bas, pour plusieurs raisons :
- premièrement, l’Oie cendrée est protégée aux Pays-Bas depuis 1998 et malgré les dégâts constatés en 2007, elle n’a pas été reclassée gibier ; cependant, des mesures d’exception ont été décidées pour atténuer les dommages aux cultures ;
- deuxièmement, l’Oie cendrée ainsi protégée s’est sédentarisée grâce aux mesures d’accueil spécifiques et de protection dont elle profite ;
- troisièmement, l’effet des prédateurs naturels est fortement diminué, en particulier par les mesures de contrôle du renard dont les effectifs ne permettent plus le dérangement des colonies ou la prédation dans les zones agricoles. Une diminution de la pression de chasse sur les populations de renards contraindrait les oies à abandonner les zones de cultures et à se localiser dans les zones humides, les réserves et les îles, moins accessibles au renard.
Des oies férales ainsi que des Canards siffleurs lâchés dans la nature ont rejoint les Oies cendrées sur les sites de reproduction et de gagnage : Oies rieuses, Bernaches nonnettes, Bernaches du Canada et Ouettes d’Égypte.

Les mesures d’exception visant exclusivement les oies sédentaires consistent d’une part à mettre à disposition des oies des terrains de reproduction, et d’autre part, de limiter la reproduction et d’en détruire une partie. Plusieurs méthodes ont été utilisées avec plus ou moins d’efficacité : le tir, le gazage des individus, l’effarouchement et le dérangement, les bruits et les cris de détresse, la destruction des pontes (enlèvement d’une partie de la ponte), la stérilisation des œufs (secouage brutal des oeufs, enrobage des œufs par de l’huile).
Les chasseurs de gibier d’eau n’ont retenu que le gazage parmi ces méthodes. En fait, elle n’est appliquée que sur quelques terrains privés et dans un rayon de 20 km autour de l’aéroport d’Amsterdam (Schipol) ou des grands troupeaux d’oies évoluent à proximité des pistes et posent des problèmes de sécurité. Malheureusement, Schipol est situé dans un secteur très agricole, dominé par des prairies, des canaux qui constituent un habitat de choix pour les oies. L’opération se déroule en été, en période de mue et n’a donc aucun effet sur les oies migratices. Les adultes et les juvéniles non volants sont poussés dans des nasses en filets terminées par un caisson dans lequel les oies sont euthanasiées avec du CO². Les oies mortes sont amenées à une banque alimentaire et distribuées aux citoyens hollandais les plus nécessiteux. Plusieurs milliers d’Oies rieuses, d’Oies cendrées et de Canards siffleurs sont prélevés dans ces conditions chaque année.

Ce type de capture, suivi d’une euthanasie, a été autorisé par arrêté préfectoral dans le nord de la France pour les Bernaches du Canada de la vallée de la Course et pour les Cygnes du Marais audomarois). Cette destruction n’est pas plus scandaleuse et paraît beaucoup plus douce qu’un tir au fusil comme en témoignent ces images d’oiseaux abattus par des chasseurs, et qui plus est, d’espèces protégées….

Rappelons que la période de chasse en France est la plus longue d’Europe (6 mois de l’année) et s’exerce sur le nombre d’espèces le plus élevé en Europe : 90 en incluant les mammifères, pour des prélèvements annuels de 25 à 30 millions d’oiseaux (par exemple, 400 000 faisans sont lâchés chaque année dans le Pas-de-Calais)
Demander une prolongation de la période de chasse est symptomatique de la gestion catastrophique de la faune sauvage en France .
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Quid de la chasse en France dans tout ça ?

Le ministère a interrogé en 2009 le « groupe d’experts sur les oiseaux et leur chasse » (GEOC) sur la chasse des oies, il a rendu l’avis suivant.

« Les vols d’oies cendrées vers le nord au-dessus de la France sont observés de plus en plus tôt (données disponibles sur la période 1986-2009), avec toutefois une forte variabilité. Depuis 1995, le premier vol migratoire a, chaque année, été observé avant le 31/01. Une tendance forte à l’avancement des dates d’observation du premier vol observé annuellement (1 jour/an en moyenne depuis 1986) est également relevée. Une part significative de la migration a lieu avant le 31 janvier, en moyenne 10-15% des effectifs dénombrés ces 4 dernières années. Les oies cendrées survolant l’ouest et le nord de la France appartiennent à un contingent d’oiseaux hivernant principalement en Espagne (100 000 individus) et en France (15 000 ind.) ; il est issu de la population dite « du Nord-Ouest de l’Europe », les oiseaux en provenance de Norvège semblant plus nombreux que ceux originaires de Suède. La tendance en effectif de ce contingent est mal connue, mais elle pourrait être différente du reste de celle des autres contingents nord-ouest européens (en forte augmentation). Compte tenu de l’origine géographique des oies en transit ou en hivernage en France, et de la phénologie des dégâts constatés, il est très peu probable qu’un prélèvement accru en France diminuerait sensiblement les dégâts aux Pays-Bas. Cette mesure pourrait, par ailleurs, affecter négativement la partie norvégienne de la population d’Europe du Nord-Ouest. Il n’apparaît pas judicieux de favoriser activement la colonisation de l’espèce en France, mais la capacité d’accueil des sites d’escale migratoire et de stationnement hivernal pourrait être améliorée. Il est fortement recommandé d’améliorer les connaissances sur les effectifs hivernant en Espagne et sur l’origine biogéographique des oiseaux hivernant en Camargue qui semblent plutôt provenir d’Europe centrale. »

Cet avis ne fait que confirmer une évidence : les scientifiques estiment à moins de 5 % la population d’Oies cendrées nées aux Pays-Bas qui pourraient migrer et passer en France ; les oies qui posent problème aux Pays-Bas ne viennent donc pas en France, car plus de 95 % d’entre elles sont strictement sédentaires. Ce n’est donc pas en tuant, sur le territoire français, en février, les oies qui nichent dans les pays autour de la Baltique que l’on résoudra les problèmes des oies sédentaires des Pays-Bas. Cela a été expliqué aux chasseurs français lors de leur visite aux Pays-Bas (27-29 mai 2009) par Berend Voslamber, le scientifique néerlandais coordinateur du programme de marquage des Oies cendrées « Allonger la période de chasse en France n’aura donc aucune influence sur les dommages agricoles aux Pays-Bas ».

On peut rappeler que les oies sauvages ne nichent pratiquement plus en France à part quelques oies cendrées dont l’origine est douteuse (comme celles du Platier d’Oye qui sont sédentarisées). Les Bernaches du Canada étaient en train de récupérer les niches laissées vides, mais elles sont maintenant déclarées nuisibles et les Ouettes d’Égypte font l’objet d’un arrêté préfectoral d’exception permettant aux chasseurs de gibier d’eau de les détruire du 20 août au 31 janvier alors que les louvetiers, agents de l’ONCFS et gardes assermentés peuvent les tirer toute l’année.
En outre, la chasse des oies en février empêcherait tout espoir d’implantation des oies grises en France (si on leur laisse des habitats propices) quand elles remontent d’Espagne en février et amputerait inutilement la population centre et nord-est européenne, de couples prêts à se reproduire.
Le GON a protesté auprès des préfets et au ministère par l’intermédiaire des fédérations nationales pour rappeler que l’appel au braconnage par les présidents de fédération de chasseurs est un acte délictueux

ON PEUT Y LIRE

Plusieurs milliers d’Oies rieuses, d’Oies cendrées et de Canards siffleurs sont prélevés dans ces conditions chaque année.


Des oies férales ainsi que des Canards siffleurs lâchés dans la nature ont rejoint les Oies cendrées sur les sites de reproduction et de gagnage : Oies rieuses, Bernaches nonnettes, Bernaches du Canada et Ouettes d’Égypte.

C'est vrai que j'en ai pris plein les yeux
Oui Eric il connait d'ailleurs c'est là que se trouve une grande réserve le long du lac...

j'y passait seulement (camion) je prenait utrech hilverson leylitad et je m'arretait a urk mais en passant suivant la période il y avait du monde (réveillé a 5 h du matin par les vol d'oies)

pat 62 a écrit:ON PEUT Y LIRE

Plusieurs milliers d’Oies rieuses, d’Oies cendrées et de Canards siffleurs sont prélevés dans ces conditions chaque année.


Des oies férales ainsi que des Canards siffleurs lâchés dans la nature ont rejoint les Oies cendrées sur les sites de reproduction et de gagnage : Oies rieuses, Bernaches nonnettes, Bernaches du Canada et Ouettes d’Égypte.

On peut lire également qu'ils ne font ça qu'en période de mue et de reproduction ?
Je trouve ce texte un peu fourre tout ... ?

Bref, la situation là-bas n'est pas très clair. Mais je pense qu'il est difficile de dire que les écolos ont raison, ou les chasseurs ont raison ?

Les hollandais ont pas mal de soucis avec une certaine population d'oie, qui se compose pour l'essentielle, d'oies sédentaires. On y retrouve en majorité des oies domestiques laissées pendant des années dans la nature, qui s'hybride avec d'autres espèces, ainsi que des espèces introduites par l'Homme.
Le problème, outre les dégâts commis, est une hybridation croissante avec des espèces migratrices et qui dans le temps, pourrait faire décliner ces même espèces migratrices.

Du coup, se servir des problèmes des Hollandais pour justifier chez nous la chasse d'oiseaux migrateurs en février, je trouve ça limite.

Un autre problème est la concentration grandissante d'oies migratrices qui hivernent en Hollande.
Pour ce qui est de l'oie rieuse et l'oie des moissons (outre les effectifs qui augmentent), la disparition des zones d'hivernage en France et au Maroc, font que ces individus ne descendent plus et viennent grossir les effectifs en Belgique et Hollande.

........jpense pas que ce soit de l oxygene dans les grosse bombonne a la fin du docu  et jvoit pas non plus d avion ??

elle son typé rien a voire avec des soi disant hybride

je veux bien un couple de ce genre!c est clair pas d aeroport et en pleine nature!

Charente-Maritime : terrain privé, interdiction de chasser

Vous habitez en Charente-Maritime ? Vous avez de quelques jours à quelques mois selon la commune pour soustraire définitivement vos terrains à la chasse.


Selon l'article L 422-10 5° du Code de l'environnement, tout propriétaire de terrain ou détenteur du droit de chasse peut faire opposition à l'apport de son droit de chasse au territoire d'une association de chasse agréée (ACCA)au nom de convictions personnelles opposées à la pratique de la chasse et sans condition de superficie minimale de ses terrains en propriété.

En d'autres termes, si vous êtes propriétaire, vous avez la possibilité de soustraire vos terrains à la chasse et d'en faire un havre de paix pour la faune sauvage.

Comment procéder ?
Les ACCA sont actuellement renouvelées tous les cinq ans à compter de l'agrément préfectoral de leur création.

Pour retirer vos terrains du territoire de l'ACCA, il suffit de faire une demande d'opposition auprès de la Direction Départementale des territoires et de la Mer 6 mois au moins avant la fin de la période de 5 ans en cours.

Toute demande d'opposition doit être composée du formulaire de demande d'opposition (à compléter en 2 exemplaires car un exemplaire doit être conservé par vous) et de l'annexe détaillant les parcelles concernées par la demande d'opposition. Cette demande doit être adressée à la Direction Départementale des territoires et de la Mer par lettre recommandée avec accusé de réception.

Conditions minimales à remplir
Vous devez apporter la preuve que vous détenez le droit de chasse, en tant que propriétaire ;
Vous devez renoncer à chasser ou à faire chasser sur la totalité des terrains que vous possédez sur la commune concernée ;
Vous devez ne pas chasser vous-même par « convictions personnelles opposées à la pratique de la chasse ».
Pour les personnes qui n'habitent pas en Charente-Maritime mais qui souhaiteraient également soustraire leurs terrains à la chasse, prendre contact avec l'association locale LPO la plus proche.

Plus d'informations
Consultez les dates limites pour faire votre demande

cirrocco62 a écrit:........jpense pas que ce soit de l oxygene dans les grosse bombonne a la fin du docu  et jvoit pas non plus d avion ??

Cette vidéo à été faite par la société en charge du marché pour prouver que les oies sont respectés, tués sans souffrances et la viande vendu ou donné aux assosiations des nécessiteux et c'est passé au chaine NPO nederlands 1 et 2 équivalent tf1 et fr2 a et au laatste NOS Info en continu car c'est un vrai problème sanitaire et les hollandais sont d'accord ...