Exécution sauvage de chiens de chasse dans l’Ardèche: Des élus montent au créneau pour défendre les chasseurs
le 20 décembre 2023
Lundi dernier, dès que nous en avons été informés, nous vous avons relaté le terrible drame qui s’est noué samedi dernier dans l’Ardèche où 7 chiens de chasse ont été abattus par un ou plusieurs membres d’une communauté de marginaux. Cet acte, d’une sauvagerie inouïe, a révolté une large part du monde de la chasse et les pensées des nemrods français vont vers les propriétaires de ces chiens, exécutés sans vergogne, par des individus à l’idéologie anarcho-marxiste et anti-chasse. Il semble de plus que cet évènement dramatique ait suscité également la colère de plusieurs élus de la région qui ont tenu à s’exprimer pour condamner cet acte et témoigner leur solidarité aux chasseurs.
Ainsi, le président du département, Olivier Amrane (Les Républicains) s’est exprimé sans détour à l’occasion d’un communiqué de presse: « J’ai été contacté dans la journée de samedi par des chasseurs sidérés qui m’ont rapidement transmis des informations et des photos (difficiles à regarder) sur un acte inqualifiable. Sept chiens abattus pour une histoire de propriété et sans discussion préalable. C’est absolument intolérable. On ne peut pas accepter qu’une personne, même excédée ou en désaccord, puisse abattre des animaux domestiques. J’espère qu’une enquête sera rapidement menée et que les auteurs seront sévèrement sanctionnés. Cet acte est tout bonnement scandaleux ! »
Dans le même esprit, Philippe Meunier (également du parti Les Républicains), vice-président délégué à la chasse de la Région Auvergne-Rhône-Alpes n’a pas hésité à qualifier cet acte de criminel et a déclaré à nos confrères du Dauphiné Libéré: « La chasse assure une mission de service public en régulant les espèces sauvages qui s’attaquent à notre agriculture et à nos forêts. La fédération de chasse de l’Ardèche a déjà vu son siège brûler. Les chasseurs voient leurs postes de tir surélevés sabotés alors que ceux-ci assurent la sécurité des battues. Maintenant, des chiens sont abattus ! Quelle sera la prochaine étape ? La loi doit maintenant s’appliquer et sanctionner ces criminels« .
Par Frédéric Buszkowski
le 20 décembre 2023
Lundi dernier, dès que nous en avons été informés, nous vous avons relaté le terrible drame qui s’est noué samedi dernier dans l’Ardèche où 7 chiens de chasse ont été abattus par un ou plusieurs membres d’une communauté de marginaux. Cet acte, d’une sauvagerie inouïe, a révolté une large part du monde de la chasse et les pensées des nemrods français vont vers les propriétaires de ces chiens, exécutés sans vergogne, par des individus à l’idéologie anarcho-marxiste et anti-chasse. Il semble de plus que cet évènement dramatique ait suscité également la colère de plusieurs élus de la région qui ont tenu à s’exprimer pour condamner cet acte et témoigner leur solidarité aux chasseurs.
Ainsi, le président du département, Olivier Amrane (Les Républicains) s’est exprimé sans détour à l’occasion d’un communiqué de presse: « J’ai été contacté dans la journée de samedi par des chasseurs sidérés qui m’ont rapidement transmis des informations et des photos (difficiles à regarder) sur un acte inqualifiable. Sept chiens abattus pour une histoire de propriété et sans discussion préalable. C’est absolument intolérable. On ne peut pas accepter qu’une personne, même excédée ou en désaccord, puisse abattre des animaux domestiques. J’espère qu’une enquête sera rapidement menée et que les auteurs seront sévèrement sanctionnés. Cet acte est tout bonnement scandaleux ! »
Dans le même esprit, Philippe Meunier (également du parti Les Républicains), vice-président délégué à la chasse de la Région Auvergne-Rhône-Alpes n’a pas hésité à qualifier cet acte de criminel et a déclaré à nos confrères du Dauphiné Libéré: « La chasse assure une mission de service public en régulant les espèces sauvages qui s’attaquent à notre agriculture et à nos forêts. La fédération de chasse de l’Ardèche a déjà vu son siège brûler. Les chasseurs voient leurs postes de tir surélevés sabotés alors que ceux-ci assurent la sécurité des battues. Maintenant, des chiens sont abattus ! Quelle sera la prochaine étape ? La loi doit maintenant s’appliquer et sanctionner ces criminels« .
Par Frédéric Buszkowski