#Justice I Sandrine Rousseau ne pourra pas, malgré sa tentative, éviter le procès engagé contre elle par la Fédération Nationale des Chasseurs !
Celle qui était à l’époque présidente du Conseil Politique du candidat d’Europe Écologie-Les Verts aux élections présidentielles avait défrayé la chronique par ses propos tenus le 22 février 2022, dans l’interview dite « les 4 vérités » diffusée sur France 2 lors de l’émission Télématin.
Elle avait insinué que les chasseurs appartenaient à une catégorie de population particulièrement dangereuse, intrinsèquement violente et auteurs de #féminicides en puissance. Cela avait conduit la #FNC à saisir la justice pour dénigrement au nom de tous les #chasseurs de France.
Sandrine ROUSSEAU avait alors tenté d’esquiver en dénonçant la nullité de l’action et l’irrecevabilité de la #FNC.
Par une ordonnance rendue le 8 mars, le juge du tribunal judiciaire de Paris a débouté Sandrine ROUSSEAU de toutes ses demandes, et a considéré que la FNC était recevable à agir, et qu’elle avait à la fois qualité et intérêt à agir. Le fait de porter la voix des chasseurs dans le souci de préserver l’image de ces derniers, dès lors qu’elle est susceptible de rejaillir sur l’image de la pratique générale de la chasse, entre dans l’objet de la FNC, qui se félicite de cette première victoire, en attendant que l’affaire soit jugée sur le fond.
Celle qui était à l’époque présidente du Conseil Politique du candidat d’Europe Écologie-Les Verts aux élections présidentielles avait défrayé la chronique par ses propos tenus le 22 février 2022, dans l’interview dite « les 4 vérités » diffusée sur France 2 lors de l’émission Télématin.
Elle avait insinué que les chasseurs appartenaient à une catégorie de population particulièrement dangereuse, intrinsèquement violente et auteurs de #féminicides en puissance. Cela avait conduit la #FNC à saisir la justice pour dénigrement au nom de tous les #chasseurs de France.
Sandrine ROUSSEAU avait alors tenté d’esquiver en dénonçant la nullité de l’action et l’irrecevabilité de la #FNC.
Par une ordonnance rendue le 8 mars, le juge du tribunal judiciaire de Paris a débouté Sandrine ROUSSEAU de toutes ses demandes, et a considéré que la FNC était recevable à agir, et qu’elle avait à la fois qualité et intérêt à agir. Le fait de porter la voix des chasseurs dans le souci de préserver l’image de ces derniers, dès lors qu’elle est susceptible de rejaillir sur l’image de la pratique générale de la chasse, entre dans l’objet de la FNC, qui se félicite de cette première victoire, en attendant que l’affaire soit jugée sur le fond.