Alors que l’on révélait hier l’info quant à la volonté de l’ASPAS d’acquérir 500Ha pour y interdire la chasse et y faire un « sanctuaire pour animaux », avec tous les problèmes de biodiversité et de sur population que cela engendrerait, voici comme un écho aujourd’hui à la une de Nice-matin où l’on apprend qu’une association de protection de la nature est obligée de réaliser des battues administratives sur son domaine de 600 Ha !
Cette situation est totalement révélatrice de l’obsession des associations de « protection des animaux » consistant à penser que la chasse est le pire mal et que nous décimons les espèces les unes après les autres.
L’association A Rocha est en train de l’apprendre à ses dépens. En effet, cette association dispose d’un domaine de 600Ha sur lequel elle accueille le grand public pour diverses activités nature. Parmi celles-ci, pas plus tard que le mois dernier, elle accueillait des jeunes et des moins jeunes à l’occasion du brame du cerf.
Problème pour A Rocha, les cerfs, c’est bien en période de brame, mais après on en fait quoi ma petite dame ? Et bien on les tue, et les sangliers aussi. C’est ce qu’a ordonné le préfet en organisant plusieurs battues administratives dans l’enceinte du domaine afin de réguler les populations bien supérieures à ce qu’elles devraient être. Avouez que c’est un comble pour une association de protection des animaux que de devoir faire appel aux chasseurs !
« CE N’EST PAS L’IDÉAL »
De l’aveu même du directeur, Jean-François Mouhot, il n’y avait pas d’autres solutions « Les soirées pour écouter le brame du cerf sont organisées par l’association. Elles sont liées à notre vocation de protection de la nature et de l’environnement et notre volonté de valoriser le patrimoine naturel et de sensibiliser le public. Les battues administratives relatives au cerf sont organisées, elles, par le préfet des Alpes-Maritimes et sont sous la responsabilité d’un lieutenant de louveterie. Comme pour les sangliers, elles visent à réguler la population de cerfs. »
Avant d’ajouter « On est d’accord, ce n’est pas l’idéal. Mais pour l’instant nous n’avons pas d’autres solutions que ces battues »
Cette situation est totalement révélatrice de l’obsession des associations de « protection des animaux » consistant à penser que la chasse est le pire mal et que nous décimons les espèces les unes après les autres.
L’association A Rocha est en train de l’apprendre à ses dépens. En effet, cette association dispose d’un domaine de 600Ha sur lequel elle accueille le grand public pour diverses activités nature. Parmi celles-ci, pas plus tard que le mois dernier, elle accueillait des jeunes et des moins jeunes à l’occasion du brame du cerf.
Problème pour A Rocha, les cerfs, c’est bien en période de brame, mais après on en fait quoi ma petite dame ? Et bien on les tue, et les sangliers aussi. C’est ce qu’a ordonné le préfet en organisant plusieurs battues administratives dans l’enceinte du domaine afin de réguler les populations bien supérieures à ce qu’elles devraient être. Avouez que c’est un comble pour une association de protection des animaux que de devoir faire appel aux chasseurs !
« CE N’EST PAS L’IDÉAL »
De l’aveu même du directeur, Jean-François Mouhot, il n’y avait pas d’autres solutions « Les soirées pour écouter le brame du cerf sont organisées par l’association. Elles sont liées à notre vocation de protection de la nature et de l’environnement et notre volonté de valoriser le patrimoine naturel et de sensibiliser le public. Les battues administratives relatives au cerf sont organisées, elles, par le préfet des Alpes-Maritimes et sont sous la responsabilité d’un lieutenant de louveterie. Comme pour les sangliers, elles visent à réguler la population de cerfs. »
Avant d’ajouter « On est d’accord, ce n’est pas l’idéal. Mais pour l’instant nous n’avons pas d’autres solutions que ces battues »