Des dégradations et des vols. Le président de l’association, Roger Catez, a regretté que l’année écoulée ait été entachée de nombreuses dégradations et vols. Plusieurs huttes ont été sinistrées et des blettes, sorte de leurres, ont été volées, notamment dans le secteur du Moulin rouge, à Calais. Il se pourrait que les coupables soient des chasseurs. « S’ils sont identifiés, ils se verront retirer leur permis », a averti le président.
Calaisis
Les chasseurs ont décroché une subvention de 22 000€, une première!
Ce vendredi a eu lieu l’assemblée générale annuelle de l’ACMC (Association chasse maritime du Calaisis), à Marck. Quarante-neuf ans après sa création dans le petit café du Fort-vert, son succès ne se dément pas puisque le nombre d’adhérents atteint 1 200 personnes.
Un tableau de chasse au beau fixe. Ce sont essentiellement des canards qui ont été chassés, loin devant les faisans ou les bécasses. Le seul point noir reste la chasse à l’oie au mois de février puisque celle-ci, d’abord autorisée, a été contestée au tribunal. Les fédérations de chasseurs s’appuient sur l’ISNEA (Institut scientifique Nord Est Atlantique) depuis 2012. Cet outil permet le comptage et l’analyse des migrations de certaines espèces d’oiseaux afin de mieux comprendre et d’apprécier les populations.
L’association subventionnée : une première. Jean Michel Taccoen, conseiller régional, originaire du Calaisis et fervent soutien aux chasseurs, a fièrement annoncé à l’assemblée que la Région Hauts-de-France soutiendrait l’association à hauteur de 22 000 € en 2018 et de 22 000 € en 2019. Cette subvention, une première pour les chasseurs, a été accordée parce que l’association organise des opérations de préservation paysagère. Dans ce contexte, l’ACMC, dont les comptes sont excédentaires, n’aura pas besoin d’augmenter les tarifs pour les permis.
Des espoirs au sommet de l’État. Willy Schraen (présent à l’assemblée), président de la Fédération nationale des chasseurs, travaille avec l’État afin de baisser le montant de l’adhésion au permis de chasse national (son coût en 2018 s’élevant à 400 €). Autre sujet sur lequel il planche avec le gouvernement, la mise en place d’une gestion plus précise du gibier. L’idée est de suivre plus précisément le comptage des oiseaux chassés ; et d’arrêter de le tirer si le quota à prélever est atteint. Cela permettrait peut-être de retrouver le droit de chasser l’oie en février.
Calaisis
Les chasseurs ont décroché une subvention de 22 000€, une première!
Ce vendredi a eu lieu l’assemblée générale annuelle de l’ACMC (Association chasse maritime du Calaisis), à Marck. Quarante-neuf ans après sa création dans le petit café du Fort-vert, son succès ne se dément pas puisque le nombre d’adhérents atteint 1 200 personnes.
Un tableau de chasse au beau fixe. Ce sont essentiellement des canards qui ont été chassés, loin devant les faisans ou les bécasses. Le seul point noir reste la chasse à l’oie au mois de février puisque celle-ci, d’abord autorisée, a été contestée au tribunal. Les fédérations de chasseurs s’appuient sur l’ISNEA (Institut scientifique Nord Est Atlantique) depuis 2012. Cet outil permet le comptage et l’analyse des migrations de certaines espèces d’oiseaux afin de mieux comprendre et d’apprécier les populations.
L’association subventionnée : une première. Jean Michel Taccoen, conseiller régional, originaire du Calaisis et fervent soutien aux chasseurs, a fièrement annoncé à l’assemblée que la Région Hauts-de-France soutiendrait l’association à hauteur de 22 000 € en 2018 et de 22 000 € en 2019. Cette subvention, une première pour les chasseurs, a été accordée parce que l’association organise des opérations de préservation paysagère. Dans ce contexte, l’ACMC, dont les comptes sont excédentaires, n’aura pas besoin d’augmenter les tarifs pour les permis.
Des espoirs au sommet de l’État. Willy Schraen (présent à l’assemblée), président de la Fédération nationale des chasseurs, travaille avec l’État afin de baisser le montant de l’adhésion au permis de chasse national (son coût en 2018 s’élevant à 400 €). Autre sujet sur lequel il planche avec le gouvernement, la mise en place d’une gestion plus précise du gibier. L’idée est de suivre plus précisément le comptage des oiseaux chassés ; et d’arrêter de le tirer si le quota à prélever est atteint. Cela permettrait peut-être de retrouver le droit de chasser l’oie en février.