Alors que le France est en émoi devant l'expulsion virile du président de la LPO d'une propriété privée dans les Landes, les médias ne vous parleront pas de ce chasseur agressé.
Jusqu'où iront-ils ?
C'est une bien triste affaire que vient de révéler dans ses colonnes le journal l'Indépendant. En effet, Philippe Matuszak, passionné de chasse à la grive, a été "attaqué" ce dimanche par d'une quinzaine d'individus encagoulés dans le secteur des Iscles à Caumont-sur-Durance.
« Ils ont commencé à faire du bruit avec des espèces de trompettes ou de cornes », raconte le chasseur. Il s’agirait d’un groupe d’activistes antichasse. « Je leur ai demandé à plusieurs reprises de se taire. Ça va que je suis resté calme, parce qu’ils n’ont pas arrêté de me provoquer », confie Philippe Matuszak, encore énervé. « Ils m’ont filmé avec deux caméras et un téléphone portable. Si jamais je découvre que c’est diffusé sur un site internet ou ailleurs je vous jure que je porterai plainte. Je ne me laisserai pas faire ».
Comprenant qu’il a face à lui des individus bien décidés à ne pas le lâcher, Philippe Matuszak prévient Patrice Barraud, le garde-chasse. Puis ce sont les gendarmes qui viennent se mêler à la partie pour calmer le jeu.
Jusqu'où iront-ils ?
C'est une bien triste affaire que vient de révéler dans ses colonnes le journal l'Indépendant. En effet, Philippe Matuszak, passionné de chasse à la grive, a été "attaqué" ce dimanche par d'une quinzaine d'individus encagoulés dans le secteur des Iscles à Caumont-sur-Durance.
« Ils ont commencé à faire du bruit avec des espèces de trompettes ou de cornes », raconte le chasseur. Il s’agirait d’un groupe d’activistes antichasse. « Je leur ai demandé à plusieurs reprises de se taire. Ça va que je suis resté calme, parce qu’ils n’ont pas arrêté de me provoquer », confie Philippe Matuszak, encore énervé. « Ils m’ont filmé avec deux caméras et un téléphone portable. Si jamais je découvre que c’est diffusé sur un site internet ou ailleurs je vous jure que je porterai plainte. Je ne me laisserai pas faire ».
Comprenant qu’il a face à lui des individus bien décidés à ne pas le lâcher, Philippe Matuszak prévient Patrice Barraud, le garde-chasse. Puis ce sont les gendarmes qui viennent se mêler à la partie pour calmer le jeu.