ils ont pas de mal c'est les seuls a être présent
Une interdiction de plus et cette fois-ci sur plan local, bientôt au niveau national ]
La majorité écologiste a adopté lundi une motion pour interdire l’utilisation d’animaux vertébrés vivants comme appâts dans le cadre de la pêche de loisir. Les pêcheurs devront donc se rabattre sur des leurres artificiels pour débusquer les carnassiers. Une partie de l’opposition y voit une porte ouverte à l’interdiction totale de la pêche à Strasbourg.
️ « Interdire la pêche au vif, ce n’est pas interdire la pêche de loisir. C’est interdire une pratique dangereuse pour la nature et cruelle pour les animaux. Aucun loisir ne justifie la cruauté ! » a tranché Marie-Françoise Hamard , à l’issue de son réquisitoire contre l’utilisation des vifs comme appâts pour la pêche de loisir.
Dans son plaidoyer pour le bien-être animal, elle a convaincu ses amis de la majorité écologiste qu’il fallait renoncer à cette technique de pêche qui consiste, dans le détail, à « embrocher un animal vivant » en lui plantant un hameçon dans la bouche ou dans le dos, afin d’attraper un prédateur (brochet, perche ou sandre). Une technique un brin sadique
Une interdiction de plus et cette fois-ci sur plan local, bientôt au niveau national ]
La majorité écologiste a adopté lundi une motion pour interdire l’utilisation d’animaux vertébrés vivants comme appâts dans le cadre de la pêche de loisir. Les pêcheurs devront donc se rabattre sur des leurres artificiels pour débusquer les carnassiers. Une partie de l’opposition y voit une porte ouverte à l’interdiction totale de la pêche à Strasbourg.
️ « Interdire la pêche au vif, ce n’est pas interdire la pêche de loisir. C’est interdire une pratique dangereuse pour la nature et cruelle pour les animaux. Aucun loisir ne justifie la cruauté ! » a tranché Marie-Françoise Hamard , à l’issue de son réquisitoire contre l’utilisation des vifs comme appâts pour la pêche de loisir.
Dans son plaidoyer pour le bien-être animal, elle a convaincu ses amis de la majorité écologiste qu’il fallait renoncer à cette technique de pêche qui consiste, dans le détail, à « embrocher un animal vivant » en lui plantant un hameçon dans la bouche ou dans le dos, afin d’attraper un prédateur (brochet, perche ou sandre). Une technique un brin sadique