encore une mauvaise pub
Qui a abattu froidement Jojo, le cochon nain de Sigean ?
Le pauvre animal a dû être euthanasié par un vétérinaire.
Jojo, un cochon nain, âgé d'un an, a été abattu froidement à bout portant d'une balle de sanglier. Ce pauvre animal domestique se trouvait avec ses propriétaires quand il a été visé par un chasseur sans scrupule. Une plainte a été déposée pour retrouver l'auteur du coup de feu qui a pris la fuite juste après son acte.
AUDE - L'AFFAIRE "JOJO" FAIT GRAND BRUIT !
Par la voix de son président, la Fédération audoise de chasse annonce qu'elle ne portera partie civile lorsque le chasseur impliqué dans la mort de Jojo, un cochon domestique à Sigean, sera jugé.
"C'est un fou, c'est un malade". Yves Bastié n'y va pas par quatre chemins pour parler de l'homme qui a tiré sur Jojo. Pour le président de la Fédération départementale des chasseurs, pas question de trouver des circonstances atténuantes à de tels comportements. "Autant je défends la chasse, autant je ne peux pas défendre des fous. Un type comme ça, il faut lui retirer son permis. Qu'il n'ait plus le droit de chasser !"
Conscient du "mal terrible" que des actes de ce genre font à l'image de la chasse, Yves Bastié est déterminé à "aller jusqu'au bout" dans cette affaire. "Lorsque cet homme sera jugé, la Fédération se portera partie civile", lance-t-il, déplorant aussi que l'auteur du coup de feu n'ait pas pris ses responsabilités. "On attend d'un chasseur un autre comportement. Tu fais une bêtise, au moins tu t'expliques. Et tu amènes toi-même l'animal au vétérinaire. Là, ce fut tout le contraire : on ne saurait tolérer que des gens comme ça continuent d'évoluer dans le milieu de la chasse".
et celui là n'est pas mieux
"Groin-Groin", sanglier domestique froidement abattu dans son enclos de Coursan
Groin-Groin, après 11 ans de vie paisible a été abattu par des "chasseurs" du dimanche. PHOTO/C. De Pablo
Groin-Groin était un sanglier de 110 kg, apprivoisé depuis 11 ans par Guy Serres, éleveur coursannais qui l'avait élevé au biberon, nourri et soigné toutes ces années, à la plus grande joie des enfants et des promeneurs. Il vivait dans son enclos de Coursan en compagnie de poules et de cochons chinois. Groin-Groin ne faisait peur à personne, mais ... cette année, l'ouverture de la chasse lui a été fatale.
Dimanche dernier, Groin-Groin est mort sous les tirs d'un fusil, dans son enclos, dont le grillage a été soigneusement découpé. Puis ce sanglier pas comme les autres a été tiré par les pattes hors de sa demeure, laissant une trace de sang sur le sol, chargé dans un véhicule, sans doute par plusieurs individus (pour pouvoir soulever 110 kg...). Groin-Groin aura certainement été exhibé comme un trophée de chasse glané après un dur combat dans la nature.
Les tueurs n’ont pas pris ou tué les poules et les cochons chinois qui ont assisté à la fin de leur pauvre ami. La famille qui a élevé et soigné ce sanglier durant 11 ans est dépitée.
Qui a abattu froidement Jojo, le cochon nain de Sigean ?
Le pauvre animal a dû être euthanasié par un vétérinaire.
Jojo, un cochon nain, âgé d'un an, a été abattu froidement à bout portant d'une balle de sanglier. Ce pauvre animal domestique se trouvait avec ses propriétaires quand il a été visé par un chasseur sans scrupule. Une plainte a été déposée pour retrouver l'auteur du coup de feu qui a pris la fuite juste après son acte.
AUDE - L'AFFAIRE "JOJO" FAIT GRAND BRUIT !
Par la voix de son président, la Fédération audoise de chasse annonce qu'elle ne portera partie civile lorsque le chasseur impliqué dans la mort de Jojo, un cochon domestique à Sigean, sera jugé.
"C'est un fou, c'est un malade". Yves Bastié n'y va pas par quatre chemins pour parler de l'homme qui a tiré sur Jojo. Pour le président de la Fédération départementale des chasseurs, pas question de trouver des circonstances atténuantes à de tels comportements. "Autant je défends la chasse, autant je ne peux pas défendre des fous. Un type comme ça, il faut lui retirer son permis. Qu'il n'ait plus le droit de chasser !"
Conscient du "mal terrible" que des actes de ce genre font à l'image de la chasse, Yves Bastié est déterminé à "aller jusqu'au bout" dans cette affaire. "Lorsque cet homme sera jugé, la Fédération se portera partie civile", lance-t-il, déplorant aussi que l'auteur du coup de feu n'ait pas pris ses responsabilités. "On attend d'un chasseur un autre comportement. Tu fais une bêtise, au moins tu t'expliques. Et tu amènes toi-même l'animal au vétérinaire. Là, ce fut tout le contraire : on ne saurait tolérer que des gens comme ça continuent d'évoluer dans le milieu de la chasse".
et celui là n'est pas mieux
"Groin-Groin", sanglier domestique froidement abattu dans son enclos de Coursan
Groin-Groin, après 11 ans de vie paisible a été abattu par des "chasseurs" du dimanche. PHOTO/C. De Pablo
Groin-Groin était un sanglier de 110 kg, apprivoisé depuis 11 ans par Guy Serres, éleveur coursannais qui l'avait élevé au biberon, nourri et soigné toutes ces années, à la plus grande joie des enfants et des promeneurs. Il vivait dans son enclos de Coursan en compagnie de poules et de cochons chinois. Groin-Groin ne faisait peur à personne, mais ... cette année, l'ouverture de la chasse lui a été fatale.
Dimanche dernier, Groin-Groin est mort sous les tirs d'un fusil, dans son enclos, dont le grillage a été soigneusement découpé. Puis ce sanglier pas comme les autres a été tiré par les pattes hors de sa demeure, laissant une trace de sang sur le sol, chargé dans un véhicule, sans doute par plusieurs individus (pour pouvoir soulever 110 kg...). Groin-Groin aura certainement été exhibé comme un trophée de chasse glané après un dur combat dans la nature.
Les tueurs n’ont pas pris ou tué les poules et les cochons chinois qui ont assisté à la fin de leur pauvre ami. La famille qui a élevé et soigné ce sanglier durant 11 ans est dépitée.